Renseignements
provenant de Wikipedia :
Biographie
Léon DANCHIN est né à Lille le 21 juin 1887, rue de Fleurus, second d'une famille de
six enfants dans un milieu aisé. Fils d'Albert DANCHIN, un entrepreneur du
tissage, il est l’arrière petit fils de Côme-Damien DEGLAND , chirurgien et ornithologue
célèbre (1787-1858), fondateur du musée d’Histoire Naturelle de Lille. Sa mère Marguerite, maîtresse de maison accomplie,
reçoit fréquemment dans la grande maison de Lille.
Léon
DANCHIN fait des études au collège
Jeanne d’Arc de Lille. Très doué pour le dessin, il s’inscrit à l'école des
beaux-arts où il est élève de Jean JOIRE, lui-même animalier. Reçu au Salon de Lille de 1906 à
l’âge de 19 ans, il y expose fréquemment par la suite et fit des bustes de
personnalités lilloises. Mobilisé en 1914 au 351° régiment d’Infanterie, il est
décoré de la Croix de Guerre et cité à l’ordre du régiment.
Après sa
démobilisation, il épouse à Bergues, le 11 octobre 1919 Simone MEESMAECKER. Sans abandonner la sculpture
(bustes et monuments) ni la colombophilie il se consacre pour l'essentiel au dessin
animalier. Installé à Saint-Gratien, puis à Chantilly, il y fait de nombreuses études de chevaux et commence à
publier ses premières lithographies et gravures pour la Maison Devambez. En 1925, il se réinstalle à
Bergues. Après la mort de son beau-père en 1936, il habite Paris, 6 rue Edmond
About, dans le XVIe arrondissement. Pendant toute cette période, il
peint de nombreux tableaux et des aquarelles et continue la série de lithographies et d'eaux-fortes qui firent beaucoup pour la
diffusion de ses œuvres et leur renommée européenne. Ayant le mal du pays, les
DANCHIN déménagent à nouveau et
s'installent à Bergues, dans le Nord, où Léon chasse du matin au soir, tous les jours. C'est
pendant cette période que Léon DANCHIN
va dessiner les scènes de chasse qui feront sa célébrité. Comme tout bon
chasseur, c'est d'abord au travail du chien qu'il s'intéresse. Il a maintenant
un style reconnu.
C'est là
qu'il devait y mourir le 4 août 1938, 30 rue du Port, chez son beau-frère et
compagnon de chasse Jean Meesmaecker. Il est enterré
avec son épouse, au cimetière de Bergues.
Œuvre
Si ses sculptures sont oubliées,
le peintre aquarelliste animalier en revanche a atteint une réputation
européenne. Environ trois-cents de ses œuves sont
connues, notamment par le biais de la lithographie et de la gravure,
particulièrement cynégétique. L'observation de l'attitude (chiens, gibier) est
sans défaut, ce qui n'étonne pas chez ce chasseur passionné.
Bibliographie
(fr) Denis Montaut,
catalogue raisonné: Léon DANCHIN , animalier, préface de Monique DANCHIN
-Mazodier, éditions Montaut,
Saint-Sulpice-et-Cameyrac (Gironde), 2001
(en) Denis Montaut,
Léon DANCHIN , animal artist (version anglaise
du catalogue raisonné en français), 2001, 11 photos-portraits, 68 illustrations
couleur in-texto, 95 planches hors-textes, 82 clichés noir et blanc, 88 pages.
Renseignements
fournis par son fils Luc DANCHIN [1] :
Léon DANCHIN est né à Lille le 21 juin 1887, rue de
Fleurus. Il était fils d’Albert et de Marguerite DANCHIN , et l’arrière petit
fils de Côme Damien DEGLAND, chirurgien et ornithologue célèbre (1787-1858),
fondateur du musée d’Histoire Naturelle de Lille, ami de Monsieur de MEESEMAECKER
[2] de
Bergues, qui lui aussi s’intéressait aux Sciences de la Nature (Collection
ornithologique de Bergues).
Léon
DANCHIN fit des études au collège Jeanne
d’Arc de Lille. Précocement doué pour le dessin, il s’inscrit tout
naturellement à l’Ecole des Beaux-arts de cette ville. Le sculpteur Jean JOIRE
et son collaborateur MERCULIANO lui donnèrent de précieux conseils et une
excellente formation qui l’aidèrent dans ses débuts. Reçu au salon de 1906 à
l’âge de 19 ans, il y exposa régulièrement par la suite et fit de nombreux
bustes de personnalités lilloises. Mobilisé en 1914 au 351° régiment
d’Infanterie (Lorraine, Yser, Somme, Verdun, Chemin des Dames, etc…) il est
décoré de la Croix de Guerre et cité à l’ordre du régiment.
Après
sa démobilisation, il épouse à Bergues, le 11 octobre 1919 Simone MEESEMAECKER,
fille du Docteur Léon MESEMAECKER et de Juliette CARPENTIER.
Sans abandonner la
sculpture (bustes et monuments) il se consacre de plus en plus au dessin
animalier. Installé à Saint Gratien, puis à Chantilly il y fit de nombreuses
études de chevaux et commence à publier ses premières lithographies et gravure.
En 1925 le Docteur MEESEMAECKER, son beau père, lui ayant signalé une maison à
vendre en face de la sienne, 21 rue Faidherbe, à Bergues, il l’achète et s’y
installe. Après la mort de son beau-père en 1936, il part habiter Paris, 6 rue
Edmond About 16éme. Pendant toute cette période, il peint de nombreux tableaux
et des aquarelles et continue la série de gravures et de lithographies (près de
200) qui firent beaucoup pour la diffusion de ses œuvres et leur renommée
internationale.
Revenant
régulièrement à Bergues pour les vacances et la chasse, il devait y mourir le 4
août 1938, 30 rue du Port, chez son beau-frère et compagnon de chasse Jean
MEESEMAECKER.
Il
est enterré, ainsi que son épouse, au cimetière de Bergues.
Le
souvenir de Léon DANCHIN est encore bien
vivace à Bergues et les anecdotes… car c’était un joyeux drille.
On se souvient qu’il demandait à prêter les chiens
pour les dessiner – il avait deux niches – ou un coq de combat tué que le
propriétaire venait remettre en état…
Il y
aurait une photo prise à l’Exposition de 1937 : Albert LEBRUN serre la
main de Léon DANCHIN .
Il
était un colombophile averti : 1er le 20 mai 1932 sur
Châteaudun, le 26 juillet 1932 sur Vendôme. Il exposa le 4 août 1933 à
l’occasion du centenaire de LAMARTINE[3].
Léon DANCHIN naît
à Lille le 21 juin 1887. fils de Albert
et petit fils de Emile.
Il est
attiré dès son plus jeune âge par le dessin et la chasse qui deviendront ses
deux passions.
Après
une formation de sculpteur chez deux grands maîtres à Lille, il se consacre
plus spécialement à l'aquarelle.
Sa vie
professionnelle sera momentanément interrompue par le guerre de 1914 - 1918 où
il sera appelé.
De
retour à la vie civile, les joies de la chasse et les études d'animaux rythment
ses journées.
Très
connu du grand public dans le monde entier pour ses gravures cynégétiques.
Léon
DANCHIN se fit connaître de tous, tant
en France qu'à l'étranger, grâce à la multiplication de ses œuvres gravées.
Aujourd'hui vénéré par les inconditionnels de son œuvre, recherché par les
collectionneurs passionnés en quête de premiers tirages, reconnu par les jeunes
générations comme étant la référence incontournable ; Léon DANCHIN est à l'aube du XXIe siècle, l'animalier du
XXe, le plus connu et le plus apprécié du grand public.
http://www.vasse.com/fr
:
Léon DANCHIN est né à Lille le
21 juin 1887, Léon DANCHIN est
le deuxième enfant de la famille DANCHIN. Ils seront six mais aucun autre que lui ne deviendra artiste
peintre. Son père Albert a repris la fabrique de tissage familiale. Sa mère
Marguerite, maîtresse de maison accomplie, reçoit fréquemment dans la grande
demeure de Lille. Depuis des siècles, le berceau de la famille DANCHIN se situe dans le nord de la France, à Anchin dans le Hainaut d’où l’origine du nom. Outre
l’attachement au Nord, les DANCHIN ont en commun la passion des
animaux. Le grand père puis le père de Léon DANCHIN sont des chasseurs passionnés et très tôt Léon DANCHIN va
observer les attitudes des nombreux chiens de la famille et en fera des croquis
puis des esquisses. Il s’inscrit aux beaux arts de Lille et devient élève dans
l’atelier du sculpteur Jean JOIRE qui lui enseigne l’étude des chevaux et des
chiens. D’abord sculpteur, Léon DANCHIN enverra plusieurs bronzes aux salons des
artistes français de 107 à 1911. En rentrant de la guerre, il se fiance avec Simone
MEESEMAECKER et l’épouse en 1919. L’artiste sculpte encore sur commande mais
s’intéresse de plus en plus au dessin. Il rencontre alors le meilleur éditeur d
‘estampe parisien de l’époque monsieur DEWAMBEZ. pour plus de facilité de
travail, la famille se rapproche de Paris et habite Chantilly où Léon DANCHIN dessinera toute sa série sur les chevaux tirée
en lithographie chez DEWAMBEZ. Ses premières œuvres rencontrent tout de suite
un vif succès et se vendent très bien en France mais aussi en Belgique, aux
Etats unis et en Angleterre. Ayant le mal du pays, les DANCHIN déménagent à nouveau et s’installent à
Bergues, dans le Nord où Léon DANCHIN chasse du matin au soir, tous les jours.
C’est pendant cette période que Léon DANCHIN va dessiner les scènes de chasse qui feront sa
célébrité. Comme tout bon chasseur c’est d’abord au travail du chien qu’il
s’intéresse. Il a maintenant un style reconnu et s’intéresse depuis longtemps
au travail des maîtres japonais Toyokuni, Hiroshige, Hokusaï entre autres, il s’en inspire pour l’élaboration
des décors de ses gravures de chasse (roseaux, arbustes miniatures,…)
http://www.ponttournant.com/default.htm
:
Demeure pour un temps et source
d'inspiration du peintre animalier Léon DANCHIN.
Plusieurs œuvres du Maître sont
exposées dans le restaurant